Après son usage dans la musique antique, et avec son maintien traditionnel dans les mélopées orientales, le quart de ton s'est perpétué longtemps, dans certains cas déterminés. L'emploi des quarts de ton (dans le chant liturgique au moyen âge) a été l'objet d'études et de discussions vers 1854 et suivant. Il semblait expliquer la présence dans quelques manuscrits, et notamment dans le manuscrit de Montpellier, de quelques figures de notes inusitées. Les théoriciens Reginon de Prum, Guido, Engelbert d'Admont, Marchetto de Padoue, Simon Tunstede et autres témoignent de l'emploi d'intervalles plus petits que le demi-ton. Cet intervalle est tombé en désuétude à mesure que la musique harmonique progressait.
Voir aussi: Épisème