Nuance d'exécution dans le chant grégorien, définie « un son qui coule doucement et s'efface dans la prononciation »; le son liquescent, on note l., a un rôle grammatical plutôt que musical, en ce que l'on s'en sert, comme d'une apostrophe ou d'un e muet sous-entendu, pour détacher l'une de l'autre deux consonnes successives. Dom Pothier donne pour exemple de son emploi le fragment « Ad te levavi », où, dans le cephalicus placé sur
Ad, le premier son est fort, le second faible et a pour mission de porter la voix sur la syllabe
te :